Prenez note que cet article publié en 2005 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Le chef adéquiste demande au gouvernement du Québec de ne pas mener de bataille juridique visant à retarder l'entrée en vigueur du jugement qui ouvre la porte à la privatisation des soins de santé.
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, a réitéré son appui, mardi, au récent jugement de la Cour suprême qui ouvre la porte à la privatisation des soins de santé au Québec.
Le 9 juin, le plus haut tribunal du pays concluait que les articles des lois québécoises qui interdisent les assurances privées dans le domaine de la santé violaient les dispositions de la Charte québécoise des droits et libertés.
Le chef adéquiste demande au gouvernement du Québec de ne pas mener de bataille juridique pour retarder l'entrée en vigueur de ce jugement.
M. Dumont souhaite également qu'Ottawa permette aux provinces d'être plus autonomes dans le secteur de la santé. Selon lui, la loi canadienne sur la santé renferme trop d'interdictions pour les provinces qui souhaiteraient introduire des changements.
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